Ce matin j’ai été inspiré pour regarder dans mon fichier Word intitulé « mon histoire », où j’ai commencé à raconter des évènements non physique qui me sont arrivés. Considérant tout cela comme relativement inutile car n’intéressant vraiment que si peu de personnes, mon projet n’avance pas vite depuis des années, initié par une femme avec un corps de « fantôme » blanc qui était passée rapidement au milieu de mon Espace intérieur, sur fond noir étoilé, en e disant « Share your journey now », « partage ton histoire maintenant ». Son ton insistant m’a toujours posé question, ne sachant si cela reflétait une importance de le faire pour moi-même ou pour la Vie, le Tout.
Bref, revenons aux hologrammes !
Je tombe sur un message que j’avais mis sur Facebook le 23 avril 2021, plateforme que j’utilise pour recueillir des mémoires qui me viennent à un moment où j’ai le temps de les transcrire sur mon téléphone. Au fil des ans les mémoires même des choses les plus spectaculaires qui me sont arrivées disparaissent. Ainsi soit-il, après tout seul le présent anticipé est touchable.
Bon, la plupart des humains terrestres, ancrés dans l’hologramme « local », celui qu’on appelle le monde physique, vont se demander quel intérêt il y a à réaliser que ce monde n’est qu’une projection d’images qu’on fait pour jouer un rôle parmi d’autres joueurs. Eh bien je leur dirais simplement qu’une fois qu’on a vu et qu’on est donc convaincu que ce monde n’est qu’une projection, et non la réalité fondamentale, on le voit différemment, et donc on y réagit différemment.
Le point majeur est là, on sait que ce n’est qu’un épisode parmi d’autres, que cela n’a pas de valeur fondamentale, et donc ON LE PREND MOINS AU SERIEUX.
Plus question de se battre pour un pays, pour un terrain, plus question de vouloir tuer son voisin qui a rayé votre voiture ou qui vous a volé votre poule (aviaire ou humaine d’ailleurs) !
La vraie réalité sur laquelle ce monde est créé, c’est la Paix.
Toutes ces agitations temporaires ne sont que jeux de l’Esprit, à ne prendre qu’avec superficialité raisonnée, pas sérieusement au point de vouloir haïr ou tuer.
Imaginez le monde dans lequel nous vivrions si chacun avait conscience qu’on ne fait ici que se distraire d’une Paix infinie sur laquelle nous reposons. Finies les violences, finies les jalousies, disparus les mauvais sentiments, enfin la joie permanente et le délire enfantin retrouvé, avec certes un maturité nécessaire pour ne pas se faire mal, ce corps physique étant si fragile.
L’innocence « animale » retrouvée, avec en plus les immenses possibilités offertes par cet intellect si capable et ce corps si adroit que nous avons avec cet avatar humain, convergeant vers une manifestation d’émotions agréables intenses pour tout le monde, l’explosion du bien-être pour tout le monde.
Voilà, un monde meilleur est à porté de nous, si nous réalisons de quoi l’expérience de la Vie est vraiment faite.
23 avril 2021
Livre ‘L’univers est un hologramme’
Un livre écrit d’après les informations reçues par un homme en contact avec une autre civilisation. Linda Moulton Howe a reçu cette confidence par Bob Hopkins qui connaissait l’auteur de ce livre Michael Talbot (qui faisait aussi des Sorties Hors du Corps depuis son enfance). La version française de ce livre ‘L’univers est un hologramme’ est disponible en PDF sur Facebook ici https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=662497587222205&id=117941578344478
- L’univers est un hologramme (livre pdf) de Michael Talbot http://zanribot.free.fr/Divers/univers_hologramme.pdf
Ce livre est riche en informations sur différents sujets, dommage qu’il ne soit pas sur Kindle.
- La version anglaise en PDF gratuit est disponible ici https://archive.org/details/the-holographic-universe (non disponible sur Amazon)
- Elle en parle dans cette vidéo de conférence en anglais https://youtu.be/AqhKS6hN1VE
Elle y mentionne aussi le physicien Tom Campbell, auteur du livre “Ma (très vaste) théorie du tout”, et ancien assistant de Robert Monroe à son Institut où ses recherches en matière de Sortie Hors du Corps on été menées.
- Les deux premiers tomes du livre de Campbell sont déjà disponibles en Français ici : https://edextrao.fr/?news=26.30&forcecache=1
- Et le meilleur livre décrivant une partie de la méthode de Wang Liping est ‘The Taoist Alchemy of Wang Liping: Volume One’ de Nathan Brine 道 明 https://www.amazon.com/dp/B084MCDF8Q/ref=cm_sw_r_cp_apa_glt_XTXX3JCGDKM3G8V6Z40K?fbclid=IwAR2ZYdCGFEu7A5AMXYSXGe6K4q3kM9AdK5V_tI1fTjB0wDt_WnadJ_Jlc8A
Voici ce livre en français !
Le début de ce livre dit tout :
Introduction
Dans La Guerre des Étoiles, les aventures de Luke Skywalker s’ouvrent sur le rayon lumineux que projette le robot D2-R2, lequel matérialise une petite réplique en relief de la princesse Leia. Luke, interdit, regarde cette évanescente statuette de lumière implorer l’aide d’un certain Obi-Wan Kenobi.
Il s’agit d’un hologramme, d’une image tridimensionnelle produite avec un laser, et la magie technologique requise pour obtenir de telles images est tout à fait remarquable. Encore plus étonnant, certains savants commencent à penser que l’univers même serait un gigantesque hologramme, d’illusion extraordinairement détaillée, tout à la fois réelle et irréelle, ni plus ni moins que cette réplique miniature de la princesse Leia qui précipite notre héros dans sa quête.
En d’autres termes, on est en droit de penser que le monde et tout ce qu’il contient – des flocons de neige aux érables, des étoiles filantes au mouvement tourbillonnaire des électrons – est également images fantômes, projections issues d’un niveau de réalité si éloigné du nôtre qu’il se situe littéralement par-delà l’espace et le temps.
Les principaux architectes de cette sidérante hypothèse sont deux des plus éminents chercheurs que nous comptions : David Bohm de l’université de Londres – qui fut le protégé d’Einstein et qui continue de jouir d’un grand respect dans les milieux de la physique quantique -, et Karl Pribram, neurophysiologue à la Stanford University, auteur d’un classique en la matière : Languages of the Brain (Les Langages du Cerveau).
Il se trouve que, partis de bases fort différentes, Bohm et Pribram parvinrent chacun de leur côté aux mêmes conclusions.
La nature holographique de l’univers ne s’insinua dans l’esprit de Bohm qu’après des années de malaise devant l’incapacité des théories classiques à rendre compte de l’ensemble des phénomènes rencontrés en physique quantique.
Quant à Pribram, ce fut le constat de l’échec des descriptions traditionnelles du cerveau, en particulier lorsqu’il s’agissait d’expliquer certains phénomènes neurophysiologiques – qui le
décida.
Toutefois, après avoir développé leur nouvelle vision des choses, Bohm et Pribram prirent rapidement conscience que le modèle holographique élucidait bon nombre de mystères.
Ainsi expliquait-il l’apparente impuissance de toute théorie, si exhaustive fût-elle, à jamais rendre compte de l’ensemble des phénomènes présents dans la nature, l’aptitude de certaines personnes sourdes d’une oreille à situer quand même dans l’espace la source d’un bruit, et le simple fait de pouvoir reconnaître quelqu’un perdu de vue depuis longtemps même s’il a beaucoup changé dans l’intervalle.
Mais où le modèle holographique se révèle vertigineux, c’est quand il donne sens à un vaste éventail de phénomènes si difficiles à cerner qu’ils restaient exclus du champ de la science, phénomènes comme la télépathie, la précognition, le sentiment de ne faire qu’un avec l’univers éprouvé par les mystiques, et même la psychokinésie (faculté de déplacer des objets sans les toucher, par le seul pouvoir de l’esprit).
De fait, le modèle holographique apparut très vite aux yeux des savants sans cesse plus nombreux à l’adopter comme une clé permettant peut-être d’expliquer certaines expériences mystiques et para- normales, et ces dix dernières années, il a continué de passionner les chercheurs, éclairant un nombre croissant de phénomènes jusqu’alors tenus pour inexplicables.
Retraçons quelques étapes:
1980: un psychologue de l’université du Connecticut, le Dr Kenneth Ring, suggère une expli- cation des expériences de mort imminente dans le cadre du modèle holographique. Ring, président de l’International Association for Near-Death Studies (Association internationale pour l’étude des états proches de la mort), considère que ces expériences, comme la mort elle-même, ne sont rien d’autre que le passage de la conscience individuelle d’un plan de la réalité holographique à un autre.
1985: Le Dr Stanislav Grof, directeur de recherche en psychiatrie au Maryland Psychiatric Research Center (Centre de recherches psychiatriques du Maryland) et professeur associé dans la même dis- cipline à la Johns Hopkinks University School of Medecine (Faculté de Médecine Johns Hopkins), fait paraître un livre dont il ressort que les modèles neurophysiologiques existants sont inadéquats et qu’un modèle holographique est seul capable d’expliquer les expériences archétypales, c’est-à-dire les rencontres avec l’inconscient collectif et les autres phénomènes inhabituels survenant à l’occasion d’états modifiés de conscience.
1987: Au congrès annuel de l’Association for the Study of Dreams (Association pour l’étude des rêves), le physicien Fred Alan Wolf soutint que le modèle holographique expliquait les rêves lucides (des rêves d’un réalisme inhabituel marqués par la conscience que le rêveur a d’être éveillé). Il s’agit, selon lui, d’excursions dans des réalités parallèles. Et le modèle holographique devrait nous permettre d’élaborer une « physique de la conscience » grâce à laquelle nous pourrons entamer une exploration plus systématique de ces niveaux d’existence extradimensionnels.
Et cette même année, le Dr F. David Peat, un physicien de la Queen’s University canadienne, publie son Synchronicity: The Bridge between Mind and Matter (La synchronicité: passerelle entre l’esprit et la matière).
Il y exprime l’idée que la synchronicité – c’est-à-dire des coïncidences parfaitement insolites et si riches de sens qu’elles ne peuvent raisonnablement résulter du hasard seul -trouve une explication dans le modèle holographique. Elle
constituerait < un défaut dans le tissu du réel > et trahirait chez nous des processus de pensée bien plus étroitement connectés au monde physique que nous ne le soupçonnions.
